Les entreprises du transport routier de marchandises et de la logistique, qui se sentent les « grandes oubliées » du reconfinement, exigent des « conditions dignes de travail » pour les chauffeurs, en particulier la possibilité de prendre des « repas chauds à table » sur leur trajet. « Fermetures des aires de repos, impossibilité d’accéder aux sanitaires et aux douches, absence de point de restauration » : les « difficultés s’accumulent » pour les routiers, affirment dans un communiqué commun cinq organisations professionnelles…( lire la suite dans le journal L’Antenne)