Après les rouliers français d’Airbus, c’est au tour d’un vraquier de la compagnie japonaise K-Line de tester la voile de kite Seawing développée par la société Airseas, elle-même issue de l’incubateur d’Airbus. K-Line a annoncé tester une aile de 1000 m2 sur un de ses navires à partir de 2021. Si ces essais sont concluants, l’armateur s’est engagé sur un achat de 50 voiles pour équiper sa flotte. K-Line estime que l’utilisation de cette propulsion vélique auxiliaire devrait permettre l’économie de 5200 tonnes par an sur les émissions d’un navire capesize. suite de l’article dans Mer & Marine